Trois femmes entrent dans un lieu de passage…

Qui sont elles ? D’où viennent-elles ?

Elles arrivent, intemporelles, leur instrument sous le bras et chantent, en solo, duo, ou trio, des portraits, dessinent des visages, au son d’un piano, d’un accordéon, d’une trompette, ou de percussions.

Tantôt orchestre décadent, tantôt sons mélodieux, la musique et les voix se mélangent pour nous conter des petits bouts de vie que l’on croise dans la rue, que l’on devine, que l’on invente et dont nous faisons partie.

La chanson française les décrit parfois si bien que amusés ou émus nous nous laissons emmener pendant quelques minutes dans chacune des histoires que nous dévoilent ces tronches de vie.

Reprises hétéroclites, de Ferré à Semal en passant par Enzo Enzo, Juliette, revus et arrangés.

« Descendre dans la rue.
Croiser les vies qui se bousculent.
Suivre un inconnu dans le dédale des rues.
Tronches de vie est une invitation.
Invitation à s’arrêter un instant.
Regarder les visages défiler. »

Avec les notes folles de Marie-Sophie Talbot, Scarlett Schmitz et Caroline Leboutte chantent les gens qui passent, les vies qui se rencontrent, les personnages inventés, les amis perdus, les amours qui tourbillonnent